John vagabondait dans les couloirs de la mafia, la tête en l'air et un tournevis entre les doigts. Il le faisait tourner ci et là, d'humeur maussade, mais ceci ne changeait pas vraiment à d'habitude. Le lièvre de mars n'était pas connu pour sa bonne humeur quotidienne, au contraire, même. Il fit tourner une nouvelle fois l'outil, très calmement puis s'arrêta dans une petite pièce dans laquelle son père lui avait dit de se rendre.
Elle était sombre car les volets avaient été tirés, mais la lumière qui filtrait laissait apercevoir plusieurs ordinateurs sur le côté de la pièce. Le jeune homme bâilla, renifla l'atmosphère chargé de poussière. Mouais...Apparemment, la plupart des ordinateurs ici présents avaient été mis au rebut et on le chargeait de savoir s'il pouvait en tirer quelque chose. C'était comme si cet endroit était la décharge de la mafia, cette pièce en particulier.
Johnny râla dans ses moustaches, tentant de compter de combien de PC il s'agissait en tout et s'arrêta à sept. Il posa son tournevis là, puis fit demi tour jusque dans sa chambre et revint cinq bonnes minutes plus tard avait un petit matériel, donc une soufflette pour enlever toute la poussière qui avait dû s'accumuler dans ces machins.
Putain, c'était chiant. Son père n'avait pas d'autres missions à lui donner, là ? Déprimé de toute cette tâche à accomplir, John ouvrit, bon gré mal gré, la fenêtre, ne relevant toujours pas les volets pour une question de discrétion. Il soupira une nouvelle fois puis lança en l'air le tournevis avant de le rattraper.
À partir de quel moment s'endormit-il ? Ne le prenez pas pour un flemmard, il ne le fit pas tout de suite. Avant de succomber au sommeil mortel de la pièce, comme piqué par le fuseau du conte, il dut au moins réparer un, voire deux ordinateurs. Pour l'un d'entre eux, tout l'intérieur semblait cramé par une surcharge électrique, aussi laissa-t-il tomber très vite. Pour le deuxième, il passa un petit moment dessus puis, lassé, sur le point de le refaire marcher, il s'allongea sur le sol dur et ferma les yeux.
C'était tellement silencieux.
Bien loin des engueulades de ses parents ou des blagues de merde des autres membres de la mafia. Dire que dans les pièces d'à côté logeaient et travaillaient des gens qui en avaient déjà tué d'autres...bah, franchement, c'était pas comme s'il y était pas habitué depuis sa plus tendre enfance.
Un léger souffle de vent venait lui souffler au visage, John se détendit. Sa bouche s'ouvrit légèrement, sa respiration devint plus profonde : il dormait.
Elle était sombre car les volets avaient été tirés, mais la lumière qui filtrait laissait apercevoir plusieurs ordinateurs sur le côté de la pièce. Le jeune homme bâilla, renifla l'atmosphère chargé de poussière. Mouais...Apparemment, la plupart des ordinateurs ici présents avaient été mis au rebut et on le chargeait de savoir s'il pouvait en tirer quelque chose. C'était comme si cet endroit était la décharge de la mafia, cette pièce en particulier.
Johnny râla dans ses moustaches, tentant de compter de combien de PC il s'agissait en tout et s'arrêta à sept. Il posa son tournevis là, puis fit demi tour jusque dans sa chambre et revint cinq bonnes minutes plus tard avait un petit matériel, donc une soufflette pour enlever toute la poussière qui avait dû s'accumuler dans ces machins.
Putain, c'était chiant. Son père n'avait pas d'autres missions à lui donner, là ? Déprimé de toute cette tâche à accomplir, John ouvrit, bon gré mal gré, la fenêtre, ne relevant toujours pas les volets pour une question de discrétion. Il soupira une nouvelle fois puis lança en l'air le tournevis avant de le rattraper.
À partir de quel moment s'endormit-il ? Ne le prenez pas pour un flemmard, il ne le fit pas tout de suite. Avant de succomber au sommeil mortel de la pièce, comme piqué par le fuseau du conte, il dut au moins réparer un, voire deux ordinateurs. Pour l'un d'entre eux, tout l'intérieur semblait cramé par une surcharge électrique, aussi laissa-t-il tomber très vite. Pour le deuxième, il passa un petit moment dessus puis, lassé, sur le point de le refaire marcher, il s'allongea sur le sol dur et ferma les yeux.
C'était tellement silencieux.
Bien loin des engueulades de ses parents ou des blagues de merde des autres membres de la mafia. Dire que dans les pièces d'à côté logeaient et travaillaient des gens qui en avaient déjà tué d'autres...bah, franchement, c'était pas comme s'il y était pas habitué depuis sa plus tendre enfance.
Un léger souffle de vent venait lui souffler au visage, John se détendit. Sa bouche s'ouvrit légèrement, sa respiration devint plus profonde : il dormait.