Tu l’avais repoussé au maximum, comme à ta mauvaise habitude, alors tu avais dû sortir rapidement et discrètement afin que certains occupants du manoir ne puisse pas te voir. Dans le cas contraire, ils auraient à tout prix voulu te servir et c’était bien une chose que tu voulais éviter au maximum pour les désagréments qui allaient avec.
Enfin, plus pour toi que pour eux…
Tu avais donc pris la première voiture qui te tombait sous la main, une berline noir des années 90 et t’étais rendu à Londres. Tu évitais toujours de te nourrir près de chez toi pour éviter tout problème même si parfois, cela t’arrivais. Mais à Londres et dans ses quartiers, les choses passaient plus facilement, certaines personnes préférant taire les évènements sombres pour éviter une investigation du JAG dans leurs environs.
Ton choix c’était porté sur Merton & Wandsworth, calme et tranquille, de nombreux parc… la chasse était peut-être mieux dans le centre où les bar étaient souvent bondé mais cette fois-ci, tu voulais un peu de tranquillité et donc éviter de la foule.
Tu te garais dans une rue à l’abri des regards non loin d’un bar sympas que tu savais à quelques pas. Une place à côté de l’académie du JAG. Cela pouvait semblait être tenter le diable surtout que tu était habillé en civil : veste à capuche noir ouverte du style classique où l’on voyait apparaître la chemise bordeaux en dessous et pantalon en jean noir. Mais tu ne craignais rien, l’Emblème qui signalais que tu était un chevalier de l’Ordre de l’Étoile dans la poche intérieur de ta veste.
Les tensions étaient ouverte entre vous mais y aller directement était parfois la solution la plus radicale pour… tu secouais légèrement la tête. Rien… mais tu te surprenais parfois à être plus engagé que tu ne l’avais jamais été au cours de ta vie. Depuis la venue de Elias ? Serais-tu bien plus touché par sa présence que tu ne le pensais ?
Tout à ta réflexion, tu ne faisais pas attention à l’odeur étrange qui flottait dans l’air et pourtant, tu aurais dû car alors, tu aurais reconnu l’odeur de l’explosif si caractérielle et impossible à déceler pour un humain lambda. Mais ce ne fut pas le cas et tu fut surprit par le bruit de l’explosion qui te fit sursauter.
Un des murs d’enceinte explosa sous la proximité et tu eus le temps de capter la silhouette d’un civile à quelques mètres de toi. Et si tu étais assez loin du niveau de l’explosion, lui en était près…
Ignorant le fait que c’était près de soldats « ennemis » dont tu te trouvais, tu te précipitais vers cette silhouette pour t’interposer rapidement entre lui et es débris les plus gros, lui évitant une grosse partie sur le coin du crâne. Tu plissais seulement un peu le nez en sentant une légère odeur du sang. Il n’était pas mort au moins mais…
Cela activa un peu plus ta faim qui rendit tes yeux écarlate. Tu soupirais, te félicitant d’avoir l’habitude depuis les siècles passé alors, tu baissais ton regard vers cet inconnu, repoussant un gros pans de mur au sol comme s’il était fait de carton avant de lui tendre la main pour l’aider à se relever.
– Vous allez bien ?
Écoutant la réponse, tu le scrutais pour voir où se trouvait la blessure – au niveau du bras – et soupirais légèrement de soulagement en voyant que ce n’était rien de cassé au moins.
Enfin, plus pour toi que pour eux…
Tu avais donc pris la première voiture qui te tombait sous la main, une berline noir des années 90 et t’étais rendu à Londres. Tu évitais toujours de te nourrir près de chez toi pour éviter tout problème même si parfois, cela t’arrivais. Mais à Londres et dans ses quartiers, les choses passaient plus facilement, certaines personnes préférant taire les évènements sombres pour éviter une investigation du JAG dans leurs environs.
Ton choix c’était porté sur Merton & Wandsworth, calme et tranquille, de nombreux parc… la chasse était peut-être mieux dans le centre où les bar étaient souvent bondé mais cette fois-ci, tu voulais un peu de tranquillité et donc éviter de la foule.
Tu te garais dans une rue à l’abri des regards non loin d’un bar sympas que tu savais à quelques pas. Une place à côté de l’académie du JAG. Cela pouvait semblait être tenter le diable surtout que tu était habillé en civil : veste à capuche noir ouverte du style classique où l’on voyait apparaître la chemise bordeaux en dessous et pantalon en jean noir. Mais tu ne craignais rien, l’Emblème qui signalais que tu était un chevalier de l’Ordre de l’Étoile dans la poche intérieur de ta veste.
Les tensions étaient ouverte entre vous mais y aller directement était parfois la solution la plus radicale pour… tu secouais légèrement la tête. Rien… mais tu te surprenais parfois à être plus engagé que tu ne l’avais jamais été au cours de ta vie. Depuis la venue de Elias ? Serais-tu bien plus touché par sa présence que tu ne le pensais ?
Tout à ta réflexion, tu ne faisais pas attention à l’odeur étrange qui flottait dans l’air et pourtant, tu aurais dû car alors, tu aurais reconnu l’odeur de l’explosif si caractérielle et impossible à déceler pour un humain lambda. Mais ce ne fut pas le cas et tu fut surprit par le bruit de l’explosion qui te fit sursauter.
Un des murs d’enceinte explosa sous la proximité et tu eus le temps de capter la silhouette d’un civile à quelques mètres de toi. Et si tu étais assez loin du niveau de l’explosion, lui en était près…
Ignorant le fait que c’était près de soldats « ennemis » dont tu te trouvais, tu te précipitais vers cette silhouette pour t’interposer rapidement entre lui et es débris les plus gros, lui évitant une grosse partie sur le coin du crâne. Tu plissais seulement un peu le nez en sentant une légère odeur du sang. Il n’était pas mort au moins mais…
Cela activa un peu plus ta faim qui rendit tes yeux écarlate. Tu soupirais, te félicitant d’avoir l’habitude depuis les siècles passé alors, tu baissais ton regard vers cet inconnu, repoussant un gros pans de mur au sol comme s’il était fait de carton avant de lui tendre la main pour l’aider à se relever.
– Vous allez bien ?
Écoutant la réponse, tu le scrutais pour voir où se trouvait la blessure – au niveau du bras – et soupirais légèrement de soulagement en voyant que ce n’était rien de cassé au moins.