Chaque rencontre est une incarcération.
L’heure fatidique approchait et il prenait un soin tout particulier à retirer son uniforme dans les vestiaires. La chef de la section n’avait fait aucun commentaire sur le fait qu’il parte à une heure absolument raisonnable pour une fois mais c’était peut-être parce qu’elle avait vu qu’il n’était pas concentré de toute façon. Et malheureusement, le rendez-vous qui aurait lieu dans quelques minutes n’était pas la seule cause de son état.
Oui, parce qu’il y en avait une autre en plus du rendez-vous et de Misery et celle-ci portait le pseudo de Absolem. Vraiment, le type avec qui il avait certainement le plus confiance de le Wonderland, il avait fallut qu’il… qu’il l’utilise ? Il n’avait pas de meilleure mot qui lui venait pour ce qu’il avait fait.
Il enfila son jean usé et troué, ses baskets et son tee-shirt noir toujours bien trop large pour lui, le tout agrément d’une veste kaki trop large elle aussi. Certains auraient fait un effort vestimentaire mais pas lui. Il n’avait personne à impressionner et ne comptait pas tenter de les convaincre dans le fond. Cela se passerait comme ça le devrait et c’était tout.
Il avait nettoyer son ordinateur et son portable pour qu’aucun fragment d’information ne puisse être récupéré et restauré et au cas où cela n’aurait pas suffit, il avait rendu les deux inutilisables de manière définitif. Au moins, il avait l’esprit tranquille de ce côté là.
Il avait mit son casque de musique sur les oreilles pour faire le trajet mais aucune musique ne se diffusait, il marchait tranquillement – une tranquillité qu’il ne ressentait pas – et les mains dans les poches de sa veste.
Il poussa la porte du bar dans un petit tintement de clochette, c’était étrange de voir à quel point cet endroit était différent le jour et la nuit, et le barman fit le tour du comptoir pour arrivé à lui avant qu’il ne puisse avancer d’avantage.
– Un certain M.White à appelé et vous a réservé une pièce privé au premier étage. Il a dit aussi qu’il offrait toute les boissons que votre groupe consommerait. Le gérant des lieux vous offre des agréments pour aller avec. Je préviendrais vos amis ?
– Je veux bien… Il y aura un blond avec des piercings et un brun avec des lunettes. Ah, et un en tenue de pirate… s’il se souvenait bien de ce que leur avait dit le chat.
– Très bien.
Monsieur White… White Rabbit ? Il avait dit ne pas venir mais s’arrangeait tout de même pour s’occuper d’eux. Vraiment, le « papa » du Wonderland était un peu étrange parfois… avec aussi sa démonstration de confiance qui l’avait rendu malade, presque à vomir, et celle de Absolem qu’il avait littéralement eut l’impression de trahir avec ce qui s’était passé la vieille. Finalement, il s’en était presque mieux tiré avec Misery et la méfiance de ce dernier était donc plus que bienvenue.
Sans broncher, il monta donc les escaliers en retirant son casque avant de se rendre la pièce qu’on lui avait indiqué.
Il s’installa sur une chaise éloigné de l’entrée, leur laissant la porte de sortie. C’était un message, celui qu’il ne tenterait pas de s’enfuir.
Oui, parce qu’il y en avait une autre en plus du rendez-vous et de Misery et celle-ci portait le pseudo de Absolem. Vraiment, le type avec qui il avait certainement le plus confiance de le Wonderland, il avait fallut qu’il… qu’il l’utilise ? Il n’avait pas de meilleure mot qui lui venait pour ce qu’il avait fait.
Il enfila son jean usé et troué, ses baskets et son tee-shirt noir toujours bien trop large pour lui, le tout agrément d’une veste kaki trop large elle aussi. Certains auraient fait un effort vestimentaire mais pas lui. Il n’avait personne à impressionner et ne comptait pas tenter de les convaincre dans le fond. Cela se passerait comme ça le devrait et c’était tout.
Il avait nettoyer son ordinateur et son portable pour qu’aucun fragment d’information ne puisse être récupéré et restauré et au cas où cela n’aurait pas suffit, il avait rendu les deux inutilisables de manière définitif. Au moins, il avait l’esprit tranquille de ce côté là.
Il avait mit son casque de musique sur les oreilles pour faire le trajet mais aucune musique ne se diffusait, il marchait tranquillement – une tranquillité qu’il ne ressentait pas – et les mains dans les poches de sa veste.
Il poussa la porte du bar dans un petit tintement de clochette, c’était étrange de voir à quel point cet endroit était différent le jour et la nuit, et le barman fit le tour du comptoir pour arrivé à lui avant qu’il ne puisse avancer d’avantage.
– Un certain M.White à appelé et vous a réservé une pièce privé au premier étage. Il a dit aussi qu’il offrait toute les boissons que votre groupe consommerait. Le gérant des lieux vous offre des agréments pour aller avec. Je préviendrais vos amis ?
– Je veux bien… Il y aura un blond avec des piercings et un brun avec des lunettes. Ah, et un en tenue de pirate… s’il se souvenait bien de ce que leur avait dit le chat.
– Très bien.
Monsieur White… White Rabbit ? Il avait dit ne pas venir mais s’arrangeait tout de même pour s’occuper d’eux. Vraiment, le « papa » du Wonderland était un peu étrange parfois… avec aussi sa démonstration de confiance qui l’avait rendu malade, presque à vomir, et celle de Absolem qu’il avait littéralement eut l’impression de trahir avec ce qui s’était passé la vieille. Finalement, il s’en était presque mieux tiré avec Misery et la méfiance de ce dernier était donc plus que bienvenue.
Sans broncher, il monta donc les escaliers en retirant son casque avant de se rendre la pièce qu’on lui avait indiqué.
Il s’installa sur une chaise éloigné de l’entrée, leur laissant la porte de sortie. C’était un message, celui qu’il ne tenterait pas de s’enfuir.
» Sherlock (www.)